L'Enfer

L'Enfer

COMMENTAIRES

L'enfer c'est l'autre, ce mari jaloux, possessif, malade, criminel en puissance. Chabrol met en scène la folie qui grignote un être jusqu'à le consumer. La beauté et la sensualité de la sublime Emmanuelle Béart sont les graines du tourment d'un François Cluzet dément. Le film emprunte autant au vaudeville qu'à Hitchcock pour depeindre un drame intimiste aux accents de thriller. Glaçant et brillant.

Seule la sensualité d'Emmanuelle Béart crève l'écran.

Hormis la photo', c'est très mauvais. Béart est vraiment exécrable dans ce film et Cluzet totalement en roue libre. Un film très lamba sur le sujet de la jalousie et la psychopathie avec une fin absurde.

Boooff ....Un vrai film bien français dans toute sa nullité ! Perte de temps en attendant la fin ...et il n'y en a même pas .

Paix respectueuse à vos cendres, mais Chabrol, je vous hais ! Trop paresseux pour nous faire une fin qu'il faut s'inventer ? Le self-end cinéma est-il né ? Non, il existe déjà au futuroscope de Poitiers sous une forme plus pratique. Claude est aussi adepte du piston pour lutter contre le chômage et engager aveuglément sa smala familiale dans ses films ! C'est ainsi que ce n'est pas la première fois que Matthieu Chabrol nous plombe l'ambiance d'une histoire en confondant concert de casseroles avec accompagnement sonore ou musical. Mais il y a aussi Aurore, Julien... Ca devient la famille Duraton.
Sinon, la jalousie maladive est un thème souvent exploité au cinéma mais Claude Chabrol magnifie ici la longue descente aux enfers du bourreau et de sa victime. Ces rôles sont superbement joués par Emmanuelle Béart, et Cluzet qui nous fait un grand rôle ! Pas comme son coiffeur qui a massacré sa coiffure au taille-haie. Dommage, que cette aventure, un peu longue à démarrer, finisse en "queue de boudin " Peut-être la raison du bide avec 43 000 spectateurs en salles ! Ils ont eu peur de l'enfer ?

Un début un peu lent pour un final cauchemardesque, sur un sujet dur à traiter.

14/20

Pour un début plutôt maussade, je dois dire que j'ai été très agréablement surpris. En effet, alors que l'interprétation de Béart me paraissait un peu trop exagéré un peu FAUSSE, la dernière partie du film m'a permis de supposer que Chabrol a voulu nous mettre dans la tête de Paul, qui ne cesse de la qualifier de "menteuse". Elle se trouve même plutôt convaincante vers le 2ème mouvement. On trouve chez Cluzet une magnifique interprétation de la folie, même si je pense qu'il faudrait que je le regarde une deuxième fois pour tout capter et discerner les éléments qui découlent de l'illusion de ceux qui n'en découlent pas. Ce que j'ai le plus apprécié dans L'enfer, c'est surement le fait que la situation qui est décrite, à savoir la jalousie maladive d'un mari, s'avère être très révélatrice du titre même, et tout cela sans prétention, et sans être mentionné de manière brutale dans une quelconque réplique. On peut quand même trouver certaines choses à redire, telles que les transitions de changement de scène du début que je trouve peu réussies (pour ne pas dire un peu dégueulasses), mais bon je passe puisque ça s'arrange vers la fin. Disons pour finir, que ce film décrit une histoire qui au départ nous paraît plutôt plate, et qui monte crescendo jusqu'au déboussolement, au plus grand bonheur des spectateurs. Bon film 3,5/5

Vraiment très bon...

au type qui a écrit la dernière critique
tu dois avoir les yeux mal placés

grande jalousie du mari, comme sa femme est belle, il est très tourmenté.

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